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Qui sommes-nous?

Adeline THOMAS

Ostéopathe D.O.

Diplômée de l'IdHEO

 

Nous sommes tous deux diplômés de l'école IdHEO Nantes, école agréée par le Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports.

Dans le cadre de notre formation nous avons rédigé un mémoire et l'avons soutenu avec succès.

Mémoire : "Les bouffées vaso-motrices à la pré-ménopause."

Alexandre GILBERT

Ostéopathe D.O.

Diplômé de l'IdHEO

 

Mémoire : "Les patients atteints d'un Syndrome d'Apnée Obstructive du Sommeil (SAOS)."

Nos compétences

Techniques structurelles

Elles sont nommées ainsi car elles mobilisent la structure osseuse (vertèbre, tibia, fémur, phalanges, ...). Un bruit de craquement peut se faire entendre lors de la réalisation d'une de ces techniques. Il n'est néanmoins pas garant de la réussite ou non de la manipulation. Le mouvement de haute vélocité et basse amplitude, aussi dit "Trust" permet de corriger la lésion ostéopathique. Il est aussi important de noté que le praticien n'ira jamais au de-là des limites physiologiques de l'articulation du patient.

Techniques fonctionnelles

Elles nécessitent la participation active du sujet, et permettent au thérapeute, avec l'aide du sujet, de mobiliser les tissus, d'amener le sujet à un état de relâchement suffisant pour permettre la correction spontanée de la lésion ostéopathique. On distingue deux manières d'effectuer la technique: directe et indirecte.

Techniques myotensives

Les techniques myotensives sont des modes d'étirement des muscles utilisées en ostéopathie ; elles sont l'équivalent de la technique du « contracté-relâché » en kinésithérapie. On distingue trois différents types de contraction musculaire :

_isométrique : contraction de la famille des contractions isotoniques ce qui signifie que la force du patient va être supérieure à celle du praticien

_isocinétique : la force du patient est égale à celle du praticien, c'est une contraction contre résistance réciproque et sans déplacement

_isolithique : la force du patient va être plus faible que celle du praticien.

Il est important de noté qu'aucune de ces contractions ne doit être utilisée en cas de lésion de leurs fibres musculaires ou de leur aponévrose.

Techniques viscérales

Il a été démontré une dynamique viscérale précise suivant un schéma répété (Finet & Williame par échographie et Barral Jean-Pierre par la palpation). Ces mouvements viscéraux peuvent être modifiés pour engendrer des lésions ostéopathiques. Certains symptômes pourront alors apparaître. Avec les techniques viscérales le praticien peut rétablir le mouvement correcte chez le patient.

Techniques crâniennes

Décrites en premier lieu par W.G. SUTHERLAND, ces techniques sont directement liées au Mouvement Respiratoire Primaire crânien. Le praticien, en se plaçant au crâne du patient, va ressentir ces mouvements et engendrer une correction (si nécessaire). On distingue également les techniques directes et indirectes.

Quand venir nous voir ?*

- Lombalgies, cervicalgies, costalgies, coccygodynies, lombo-sacralgies, torticolis, gonalgies...

- Après un traumatisme (fracture, entorse, luxation, chute sur les fesses,...)

- Troubles digestifs (colopathie fonctionnelle, reflux gastro-œsophagiens, ballonnements,...)

- Bilan

- Maux de tête

- Troubles du sommeil (apnée, difficultés à l'endormissement,...)

- Avant, pendant et après un traitement orthodontique et/ou podologique

- Avant et après une compétition sportive

- Avant, pendant et après une grossesse

- Avant et après une intervention chirurgicale

- Troubles du cycle menstruel (douleurs associées, irrégularité,...)

- ...

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* Attention, certains motifs nécessitent un avis médical. Il est conseillé de consulter son médecin en première intention face au moindre doute

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